Dans le reste du monde, la 1° intention est fréquente (UK, USA, Pays-Bas, Canada) mais soumise à des reds-flags (signes d’alerte).
Les contre-indications
Beaucoup de complications ou d’incidents post-traitement sont le fait d’un jugement inapproprié du praticien, d’un examen inadéquat, plus que d’une technique hasardeuse.Il faut éliminer une cause rare mais potentiellement grave.
Présence de symptômes contre-indiquant la pratique (red-flags)
- Paresthésie bilatérale,
- perturbations de la marche,
- parésie spastique,
- signe de Lhermitte positif,
- exacerbation des ROT,
- signes neurologiques radiculaires à plus de 2 niveaux métamériques adjacents,
- aggravation progressive des signes neurologiques,
- symptômes d’instabilité cervicale supérieure.
Présence de symptômes requérant de la prudence dans le traitement (yellow-flags)
- Tests positifs au niveau de la charnière crânio-cervicale,
- infection rachidienne,
- processus rachidien malin,
- antécédents de cancer, de PR,
- corticothérapie sur le long terme,
- ostéoporose,
- atteinte systémique,
- déformation structurale,
- d’autres conditions et syndromes associés avec une instabilité ou une hypermobilité (Moore 2005).
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